Test pour voir les déformations (RP)
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Jeu 3 Juin - 18:05
D’humeur à persuader le soleil d’avenirs radieux ; pensant filtrer les afflictions des nuées comme si tes paroles n’étaient qu’un souffle cristallisé ;
aujourd’hui sera une belle journée.
Tout avait si minutieusement préparé, les places pour le parc d’attraction (assurant le coupe fil) ; ton amende rapidement réglée, bien obligé de limité un temps les dépenses futiles (jamais tu ne t’en remettras !) et aujourd’hui était le jour où tu te faisais plaisir !
l’idée avait germé dans les pensées en printemps qui s’achève à l’aube des tendresses d’été ; Ezra, September et un.e inconnu.e à l’appel, des rencontres qui ne peuvent que faire plaire ;
(ô hyppolite, si seulement tu savais)
et justement, l’œil émerveillé se tourne vers Ezra, qui t’avais gentiment accompagné (les douleurs se lient et se soignent elles aussi face aux mêmes battements de cœurs) tu verras Ez, un vrai canon ma pote, je te la montre pas en photo pour que t’aies la surprise, mais tu vas vouloir la pécho direct. l
La main vient traîner dans tes cheveux, le geste ralenti par les traumatismes de la blessures, je suis comme un cupidon mais en plus sexy, de toute façon et le mensonge n’avait jamais été aussi volupté
aujourd’hui sera une belle journée.
Tout avait si minutieusement préparé, les places pour le parc d’attraction (assurant le coupe fil) ; ton amende rapidement réglée, bien obligé de limité un temps les dépenses futiles (jamais tu ne t’en remettras !) et aujourd’hui était le jour où tu te faisais plaisir !
l’idée avait germé dans les pensées en printemps qui s’achève à l’aube des tendresses d’été ; Ezra, September et un.e inconnu.e à l’appel, des rencontres qui ne peuvent que faire plaire ;
(ô hyppolite, si seulement tu savais)
et justement, l’œil émerveillé se tourne vers Ezra, qui t’avais gentiment accompagné (les douleurs se lient et se soignent elles aussi face aux mêmes battements de cœurs) tu verras Ez, un vrai canon ma pote, je te la montre pas en photo pour que t’aies la surprise, mais tu vas vouloir la pécho direct. l
La main vient traîner dans tes cheveux, le geste ralenti par les traumatismes de la blessures, je suis comme un cupidon mais en plus sexy, de toute façon et le mensonge n’avait jamais été aussi volupté
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Jeu 3 Juin - 18:06
L'ÈRE DES CLOWNS
ft Hyppolite, Midas & September
Les plus beaux atouts avaient été enfilés, venant camoufler un corps encore touché par les douleurs. Car les dieux ne souffrent pas, n’est-ce pas ? En tout cas, Ezra refusait d’avoir l’air un seul instant frêle quand elle faisait claquer les talons sur les pavés avec la confiance qui la caractérisait. Elle était à nouveau égale à elle-même : dure avec son sourire ravageur quand elle tenait le bras d’Hyppolite avec la considération qu’elle ne donnait qu’à ses complices(amis), l’or brillant à ses doigts, clinquant à ses poignets et ses oreilles quand les jambes dévoilées suivaient le rythme des pas de cupidon. Elle avait laissé l’image sérieuse de pdg au placard pour afficher l’élégance des fashion victims car Ezra soignait dans les moindres détails l’image parfaite qu’elle donnait même au plus pitoyable des déchets. Et il fallait dire qu’elle avait confiance en Hyppolite pour lui avoir trouvé une prétendante au moins un minimum digne de sa grandiloquence.
– Après ça m’étonnerait qu’elle fasse l’affaire faudrait vraiment qu’elle soit mais alors ex-cep-tion-nelle j’ai bof la patience pour les meufs qui m’arrivent pas à la cheville en ce moment.
Ou plutôt celles qui n’arrivaient pas à la cheville d’une seule autre personne. Car l’esprit pensait à September et si elle avait accepté ce rendez-vous, c’était seulement dans l’idée de passer une bonne journée et une nuit houleuse à oublier l’obsession agaçante des mèches roses et leur parfum. Peut-être envoyer une photo à l’ex mal-aimée pour lui montrer qu’elle aussi passait du bon temps. Oh, si seulement elle savait.
Le sourire se fit doux à la remarque d’Hyppolite quand le regard brillait de malice.
– Evidemment Hyp’,je traîne pas avec des nuls. Et cette fois, personne détruira nos putain d’outfits, on restera sexy jusqu’au bout de la nuit. Viens, on fait une photo pour nos stories, on est trop beaux pour pas en faire profiter le monde encore !
L’appareil dégainé, la photo postée avant qu’ils ne continuent leur marche jusqu’au double-date le plus catastrophique de l’histoire d’Ellipse.
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Jeu 3 Juin - 18:06
!bug image (sept)
l'ère des clowns ft. la dream team
histoire de se changer les idées du séjour à l’hôpital catastrophique et des évènements le précédant encore plus apocalyptiques — un blind date, pour saluer le printemps convenablement
et
raviver
les amours d’antan ; ni Midas, ni Hyppolite ne savent qu’ils vont se retrouver ici suite à ton idée de génie — objectivement pourrie — mais qu’ils ne t’en veuillent pas, revoir Ezra, puis Ethan, ça a chamboulé quelque chose chez toi et tu crèves d’assister à une amour qui marchera, pour une fois.
et pas de collant aujourd’hui, ni de short, ni de jupe, un simple jean avec bottines car tu ne supporterais pas de dévoiler le carnage que sont tes jambes à présent ;
Tu vas voir Midas, tu vas a-do-rer le type que je vais te présenter ! Vous êtes parfaits l’un pour l’autre ! Hâte de voir qui il va ramener, toutefois, j’ai été tellement déçue ces derniers temps...
quand,
soudain,
le karma. Oh putain. Pas elle.
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Jeu 3 Juin - 18:30
Les dates ne sont clairement pas sa tasse de thé ; non seulement parce que ça n'a rien de naturel mais qu'il faut généralement se lancer dans un jeu de séduction — chose dont il en est incapable dans ce contexte là. mais qui sait, peut-être que le feeling passera bien. il n'est pas contre une rencontre amicale de toute manière (il aurait même préféré) mais puisque c'est un ami de September, ça ne rassure pas trop notre Midas qui au fur et à mesure qu'il avance se montre de moins en moins serein.
et elle tente de le rassurer, lui promet qu'il va l'adorer. Le dragon s'arrête. « Ouais juste... évite d'en faire des caisses quand ton ami sera là hein, ne me met pas mal à l'aise. Je veux dire, commence même pas à hurler des "vous êtes fait l'un pour l'autre" comme tu es en train de le faire maintenant. » les yeux plissés, il espère que le message est bien passé. « Moi je me fais pas de soucis pour toi, si c'est ton ami il doit connaitre tes goûts. Ca va bien se pass— » « Oh putain. Pas elle. »
hein ?
il tourne la tête et aperçoit Ezra (en effet, oh putain pas elle) et... Hyppolite ? Le comble. Qu'est-ce qu'ils f o u t e n t ici et ensemble ? « Tu connais Ezra ? » qu'importe ; il agite sa main devant lui et saisit dans la panique le poignet de son amie. « On s'en fiche fais genre de pas avoir vu, trace. On trace. On a pas le temps pour eux, un date nous attend. Vite. VITE. »
imbécile.
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Jeu 3 Juin - 18:34
L'Etrange couleur des larmes de ton corps
Hélène Cattet et Bruno Forzani, 2013
ft. Polia
Cela te fait de la peine
prête à exploser, toute boursouflée de veines
dans un gargouillis misérable qui se perd au bord des lèvres mouillées.
Il faut tenir bon pourtant,
Il faut bien tenir.
Même quand
le corps
contre toi se contorsionne
se crispe......................................
convulse
le corps
contre toi se contorsionne
se crispe
convulse
frappe ton abdomen à coup de coudes spasmodiques,
(Il parait que cela ne fait plus mal, une fois qu’il n’y a plus d’air dans les poumons, que quelque part c’est semblable à l’extase.
d’entendre geindre, et ahaner, s'asphyxier doucement
Dans un coin de ruelle sombre où le corps finira par chuter sur
de ces rues toujours sales et humides
ces
rues qu’on lave sans cesse
Soudain un
Dans ton épaule un
que tu n’as pas vu venir.
C’est un coup qui tonne sec dans ton épaule (encore tendre et blessé)
toute en jointures de doigts qui viennent s’enfoncer
Tu regardes ta proie du soir ramper, ramper et s’enfuir
Quel dommage tu
On t’attend ce soir
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Jeu 3 Juin - 18:34
l'étrange couleur des larmes de ton
mon nos
corps
mon nos
corps
avril 2021 ft. @"Kirill Soloviev"
Tu n’as pas dormi Tu n’as pas mangé
cette fois pourtant Tu n’as pas pleuré.
Tu t’es vidée et personne d’autre ne t’a remplie. Il reste donc le vide dans lequel les échos deviennent des cris, le grincement des dents, rugissement d’une scie, dans lequel tourbillonne la question
qui qui qui qui qui
Qui a osé? Qui l’infâme?
On dit que c’est une ombre qui traîne dans les rues, qui jamais ne tue, mais qui fait mal, le plus possible.
Tu penses que c’est pire. Que c’est impardonnable. Abject. Immonde.
On dit que c’est une bête au régime particulier, qui suit les gangsters la nuit
Pourquoi
Mais pourquoi donc
Pourquoi Canopus
Comme si vous n’aviez pas assez souffert, comme si tu n’avais pas eu assez peur. Pourquoi dire que tu ne lae laisseras jamais
Pourquoi mettre ta main au feu
Pourquoi mais pourquoi donc
Tu n’as pas mangé Tu n’as pas dormi
Tu n’es pas allée voir dans la chambre de l’hôpital
Tu n’as demandé qu’une liste
Des os brisés, des bleus, des écorchures
Tu t’es frappée, fille mauvaise
Toi qui avait dit que jamais plus jamais tu ne lae laisserais seule
C'est parce qu'on t'a interdit de lae protéger.
On dit que le monstre n’a pas de visage
On dit que tu ne le trouveras pas, mais tu n’as rien d’autre à faire
Rien d’autre dans ton corps que les voix écorchées qui s’essoufflent mais qui gémissent encore, qui font la liste de chaque blessure qu’il faudra lui infliger en double.
Tu ne manges pas tu ne dors pas parce que tu cherches
dans toutes les rues dans toutes les nuits
l’ombre la bête le monstre
dont tu porteras la peau comme un trophée
Tu ne sais comment tu sais que tu le vois, tu le sais, c’est tout. Au détour d’une ruelle suintante dans la lumière rouge. Tu vois à peine que le visage s’empourpre parce qu’on l’étouffe, tu ne vois pas les jambes qui giguent de spasmes faiblissant, tu ne vois pas les doigts qui s’éraflent pour passer sous la corde. Tu vois les doigts qui tiennent la corde. Tu vois les jambes raides d’un tueur. Tu ne vois pas son visage, mais tu sais.
Tu ne dis rien, tu serres les dents. Parce que si tu ouvrais la bouche, sortiraient les hurlements à t’en déchirer les lèvres à grands vents coupants. Peut-être pourras-tu lui poser une question avant d’ arracher sa langue à deux mains.
Tu sens son épaule sur ton poing avant même avoir pensé à mettre un pied devant l’autre. Alors tu tournes le poignet pour faire entrer les os dans la chair et tu le vois lâcher, tu le vois choir un peu, tenter de t’atteindre d’une jambe mal préparée que tu sais éviter, les poings encore serrés.
Tu le vois enfin,
Tu te vois ne pas le voir, le visage de l’horrible. Rien qu’un vertige où on attend des traits, rien d’humain, rien pour te faire pleurer en vengeant ton cœur blessé. L’horreur se mêle au dégoût dans tes grands yeux qui comprennent que la traque est terminée.
Tu as gardé sur toi ce petit couteau,
avec quoi tu tanneras son cuir puant. Tu le sors de ta poche et tu le dégaines d’un coup de poignet. Tu lèves les bras, tu vise la nuque, comme on saigne les animaux. Vite pendant qu’il est par terre, qu’il est sur ses quatre pattes, dans la fange des monstres.
tu offriras son cœur à Canopus pour qu’on t’aime enfin
tu jetteras le reste au caniveau pour que les rats le mangent.
cette fois pourtant Tu n’as pas pleuré.
Tu t’es vidée et personne d’autre ne t’a remplie. Il reste donc le vide dans lequel les échos deviennent des cris, le grincement des dents, rugissement d’une scie, dans lequel tourbillonne la question
qui qui qui qui qui
Qui a osé? Qui l’infâme?
On dit que c’est une ombre qui traîne dans les rues, qui jamais ne tue, mais qui fait mal, le plus possible.
Tu penses que c’est pire. Que c’est impardonnable. Abject. Immonde.
On dit que c’est une bête au régime particulier, qui suit les gangsters la nuit
Pourquoi
Mais pourquoi donc
Pourquoi Canopus
Comme si vous n’aviez pas assez souffert, comme si tu n’avais pas eu assez peur. Pourquoi dire que tu ne lae laisseras jamais
Pourquoi mettre ta main au feu
Pourquoi mais pourquoi donc
Tu n’as pas mangé Tu n’as pas dormi
Tu n’es pas allée voir dans la chambre de l’hôpital
Tu n’as demandé qu’une liste
Des os brisés, des bleus, des écorchures
Tu t’es frappée, fille mauvaise
Toi qui avait dit que jamais plus jamais tu ne lae laisserais seule
C'est parce qu'on t'a interdit de lae protéger.
On dit que le monstre n’a pas de visage
On dit que tu ne le trouveras pas, mais tu n’as rien d’autre à faire
Rien d’autre dans ton corps que les voix écorchées qui s’essoufflent mais qui gémissent encore, qui font la liste de chaque blessure qu’il faudra lui infliger en double.
Tu ne manges pas tu ne dors pas parce que tu cherches
dans toutes les rues dans toutes les nuits
l’ombre la bête le monstre
dont tu porteras la peau comme un trophée
Tu ne sais comment tu sais que tu le vois, tu le sais, c’est tout. Au détour d’une ruelle suintante dans la lumière rouge. Tu vois à peine que le visage s’empourpre parce qu’on l’étouffe, tu ne vois pas les jambes qui giguent de spasmes faiblissant, tu ne vois pas les doigts qui s’éraflent pour passer sous la corde. Tu vois les doigts qui tiennent la corde. Tu vois les jambes raides d’un tueur. Tu ne vois pas son visage, mais tu sais.
Tu ne dis rien, tu serres les dents. Parce que si tu ouvrais la bouche, sortiraient les hurlements à t’en déchirer les lèvres à grands vents coupants. Peut-être pourras-tu lui poser une question avant d’ arracher sa langue à deux mains.
Tu sens son épaule sur ton poing avant même avoir pensé à mettre un pied devant l’autre. Alors tu tournes le poignet pour faire entrer les os dans la chair et tu le vois lâcher, tu le vois choir un peu, tenter de t’atteindre d’une jambe mal préparée que tu sais éviter, les poings encore serrés.
Tu le vois enfin,
Tu te vois ne pas le voir, le visage de l’horrible. Rien qu’un vertige où on attend des traits, rien d’humain, rien pour te faire pleurer en vengeant ton cœur blessé. L’horreur se mêle au dégoût dans tes grands yeux qui comprennent que la traque est terminée.
Tu as gardé sur toi ce petit couteau,
avec quoi tu tanneras son cuir puant. Tu le sors de ta poche et tu le dégaines d’un coup de poignet. Tu lèves les bras, tu vise la nuque, comme on saigne les animaux. Vite pendant qu’il est par terre, qu’il est sur ses quatre pattes, dans la fange des monstres.
tu offriras son cœur à Canopus pour qu’on t’aime enfin
tu jetteras le reste au caniveau pour que les rats le mangent.
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Jeu 3 Juin - 18:36
conflit sous le regard d'une lune.
@"Canopus Solovyev"
klaus parle en #006600
" On a un rassemblement de crows à la seven avenue, demande de renforts. "
La pression de ton doigt sur le bouton fait tilter ton collègue, alors que tu réponds, disant que vous arrivez bientôt sur la scène. Un signe à l'autre policier, il est temps d'y aller. Tu te places sur le siège conducteur, des pensées embrument ta tête, tu peux voir tes inquiétudes dans cette fumée. Les crows t'ont à l'oeil depuis le dernier incident, ils en auront sûrement après toi. Gyrophare activé, tu démarres rapidement et le véhicule file à travers les rues. Ton camarade a encore la bouche pleine alors qu'il te demande un résumé.
" Un g-groupe de c-crows à seven av-avenue. Apparemment il l-leur faut des renforts. "
Tu te racles la gorge, un regard discret vers ton partenaire, qui semble plus confus qu'autre chose. Un simple "ok" dans sa réponse semble indiquer qu'il a comprit, alors que tu prends un virage d'une façon très serrée. Vous vous rapprochez de l'endroit. Tu fais de ton mieux pour rester calme, bien qu'une certaine angoisse te prend l'estomac. Content de ne pas avoir mangé comme lui, si l'action allait se corser le repas serait remonté bien trop vite.
Tu peux voir les lumières bleues et rouges s'allumer au loin. Alors tu t'approches, et sort de la voiture dès que celle-ci se retrouve à l'arrêt. Il semblerait que deux autres agents soient déjà présent, et aient lancé l'appel. Ils expliquent la situation, un groupe de crows repérés dans un bâtiment, nombre inconnu. À la base signalé pour nuisance sonore, c'est en ouvrant la porte que le gang fut repéré. Un de tes camarades est blessé, tant pis. Main sur l'arme de service, tu t'approches du dit-bâtiment. Ta main rugueuse vient taper sur la porte.
" P-police. Veuillez vous r-rendre sans violence et coopérer pour évit-.. é-.. éviter d'autres blessés. "
Tu te places sur le côté de l'ouverture, une balle peut être vite partie, vous n'êtes pas la bienvenue dans cette ville après tout. Tu priais juste pour qu'il n'y ait pas d'otage, pas de pouvoir trop violent. Cela compliquerait toute la situation, comme si elle ne l'était pas déjà.
- Date d'inscription : 25/01/2021Messages : 103Âge : 7 ansAvatars : avatveuzbh dzgdgzegvdzvzdzdgv daaaars edefbhfebh fehbhfebfe fezyvgshb dzgehsb degzdedgAutre(s) compte(s) : test
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Jeu 3 Juin - 18:36
!influencé par box-sizing: border-box; (canopus)
coflit sous le regard de la lune
((on croit aux monstres sous les lits comme celleux qui -
sourire du chat de cheshire -
et là,
il y avait la trainée de ce carmin-là que canopus offrait en offrande à ses propres gargouilles
les grimaces défigurées qui ricanent sous les reflets argentés d'une lune bien blasée.
à la traque,
question intéressante à mille dollars.
c'étaient de folles rumeurs qui couraient sur les bras qui pendaient, solitaires
dans les nuits et les rues mal famées d'ellipse ;
c'était pourtant là tout son royaume et ah !! canopus n'a rien ni de roi ni de reine sinon la couronne ((d'épines))
de
tr
a
ver
s.
attirer un berger, étape une : regrouper les moutons en un seul endroit
((et puis y fondre la toison noire pour mordre dans l'or que le dragon offrirait)) ;
fade ironie qu'une telle image résonne avec le symbole de leurs ennemis principaux,
à
son
goût
car canopus ne pose ses pas chaussés de petits souliers dernièrement vernis par
apocalypse - ah mais iel
ne l'avait pas amené.e ce soir ;
iel ne lui avait pas dit rien dit parce que ((c'était là son nouveau rôle de
prendre la tête n'est-ce pas)),
et en fait
quand son propre sourire au canopus avait un rictus mauvais qui partait
la lâcheté.
courbé.e sous le circulaire de la petite bougarde,
comme un.e courtisan.e qui se fait baiser les pieds si bien habillés par ses chiens de compagnie ;
((ah non,
canopus il est temps
d'apprendre)) ;
au fond du bâtiment un peu sombre un peu gris un peu sale comme ses mains qu'iel ne prenait plus la peine d'essuyer,
canopus entend tout le tintamarre qu'engendrait l'escouade des bonnes moeurs
((des balles fusent mais canopus ne compte pas)).
❝ allez, on met le plan à exécution. vous voulez aussi trouver cellui qui
démembre
vos frères et vos soeurs n'est-ce pas ?
comme les battements délicats d'un papillon mensonger dans ses propres paroles
ou les gestes de mains si lestes dans la tension des crows sous les assauts et les échos balbutiées
les rouages croulants des rues d'ellipse.
((mais canopus n'a rien sinon ses belles paroles et les promesses qu'iel maintient comme salomon et son épée sur le
cordon
ombilical
des adelphes)) ;
non,
canopus ne sait pas jouer sans fuir en avant :
mise en scène comme on y joue et on y fait du théâtre magistral ;
et passée la laisse au cou ah
CANOPUS CHIEN GALEUX DANS LES MAINS rugueuses ((des faux preneurs d'otage mais
il faut que ça ait l'air
rêve confus que la légendaire bête lui tomberait à ses pieds
étouffe sa pomme d'adam et en fait des quartiers qui craquent
et claquent))
sous les mots les ordres
❝ dégagez, nous avons un otage. tentez quoique ce soit et il est mort.
laiteuse ! sa propre gorge à l'air
((ah, les folies de lae chef.fe susurre-t-on sous le béton armé))
pour tout agneau sur le banquet l'autel des sacrifices ; mais,
en premières loges,
canopus irait encager les monstruosités.
((on croit aux monstres sous les lits comme celleux qui -
sourire du chat de cheshire -
viennent vous y traîner par les pieds))
et là,
il y avait la trainée de ce carmin-là que canopus offrait en offrande à ses propres gargouilles
les grimaces défigurées qui ricanent sous les reflets argentés d'une lune bien blasée.
à la traque,
qui donc g a g n e r a ;
question intéressante à mille dollars.
c'étaient de folles rumeurs qui couraient sur les bras qui pendaient, solitaires
dans les nuits et les rues mal famées d'ellipse ;
c'était pourtant là tout son royaume et ah !! canopus n'a rien ni de roi ni de reine sinon la couronne ((d'épines))
de
tr
a
ver
s.
attirer un berger, étape une : regrouper les moutons en un seul endroit
((et puis y fondre la toison noire pour mordre dans l'or que le dragon offrirait)) ;
fade ironie qu'une telle image résonne avec le symbole de leurs ennemis principaux,
quoique la police faisait un peu trop de zèle ces derniers temps et surtout
à
son
goût
car canopus ne pose ses pas chaussés de petits souliers dernièrement vernis par
apocalypse - ah mais iel
ne l'avait pas amené.e ce soir ;
iel ne lui avait pas dit rien dit parce que ((c'était là son nouveau rôle de
prendre la tête n'est-ce pas)),
et en fait
elle n'avait même plus le droit de lae border de lui nouer la cravate comme elle savait si bien le faire
symét rique,quand son propre sourire au canopus avait un rictus mauvais qui partait
sɹǝʌuǝ,l ɐ
qui puait la lâcheté.
courbé.e sous le circulaire de la petite bougarde,
comme un.e courtisan.e qui se fait baiser les pieds si bien habillés par ses chiens de compagnie ;
((ah non,
on avait dit canopus
la famille ah canocanocanocanopus il est temps
d'apprendre)) ;
ça sera pour un autre jour.
au fond du bâtiment un peu sombre un peu gris un peu sale comme ses mains qu'iel ne prenait plus la peine d'essuyer,
canopus entend tout le tintamarre qu'engendrait l'escouade des bonnes moeurs
venant toquer pieusement à leur porte.
((des balles fusent mais canopus ne compte pas)).
❝ allez, on met le plan à exécution. vous voulez aussi trouver cellui qui
démembre
vos frères et vos soeurs n'est-ce pas ?
comme les battements délicats d'un papillon mensonger dans ses propres paroles
ou les gestes de mains si lestes dans la tension des crows sous les assauts et les échos balbutiées
censées
faire respecter l'ordre ((un deux trois)) dans un tri méchanique commeles rouages croulants des rues d'ellipse.
((mais canopus n'a rien sinon ses belles paroles et les promesses qu'iel maintient comme salomon et son épée sur le
cordon
ombilical
des adelphes)) ;
non,
canopus ne sait pas jouer sans fuir en avant :
mise en scène comme on y joue et on y fait du théâtre magistral ;
et passée la laisse au cou ah
CANOPUS CHIEN GALEUX DANS LES MAINS rugueuses ((des faux preneurs d'otage mais
il faut que ça ait l'air
vrai si vrai sivraisivrai)) ha ha ha ;
rêve confus que la légendaire bête lui tomberait à ses pieds
ses propres menottes en cage d'or
((les manchettes sur le creux de ses poignets la chaîne à la glotte quiétouffe sa pomme d'adam et en fait des quartiers qui craquent
et claquent))
sous les mots les ordres
❝ dégagez, nous avons un otage. tentez quoique ce soit et il est mort.
pourtant sous les rideaux velours qui se lèvent sur l'estrade,
la voilà,laiteuse ! sa propre gorge à l'air
((ah, les folies de lae chef.fe susurre-t-on sous le béton armé))
pour tout agneau sur le banquet l'autel des sacrifices ; mais,
en premières loges,
canopus irait encager les monstruosités.
code par drake.
@"klaus münster"
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Jeu 3 Juin - 18:38
|
(Suite de ce rp)
On est exaltés.
Enfants des rues insolents qui traînent derrière eux leur relents de superbe invalidée. L’impertinence crisse sur l’asphalte, petite morgue des malchanceux asphyxiés. La voiture a été garée, les esprits sont parti s’aérer au bord de la mer salée.
Tu ricanes encore entre tes dents du coup monté, du visage furieux du barman prêt à exploser dont le carmin frôlait la chaire ouverte.
À contempler vos traces dans le sable mouillé, on pourrait s’imaginer un sabbat improvisé sous le chaos de vos voûtes plantaires sautillantes.
Après tout, on arrête pas les comètes que vous êtes.
Il faut pourtant un instant, une inspiration.
Une réflexion, le regard perdu sur la côte gangrenée par les bâtisses richissimes aux allures de palais abandonnés.
La cigarette posée entre tes dents, tu souris.
Ton bras autour des épaules de ta cadette, tu souris. Ta langue prise au piège contre tes molaires crispées, tu te prends à colporter tes pensées.
« Imagine l’intérieur de ses baraques. »
Le marbre nervuré polissant vos reflets, le velours sur ta peau rafraîchie par la brise marine. Les richesses endormies par la passivité de propriétaires trop occupés.
Et puis ça te frappes.
« Dolly. Ça te dit un Airbnb gratuit ? »
Marre de crever dans les intestins de la ville, d’étouffer dans les veines, avenues polluées de la cité nécrosée. Dont les néons affriolants ne font que déboussoler les morales pâles.
Ce soir tu veux du beau.
Le meilleur pour contrer vos passions fatiguées.
HRP — ...
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